Je ne vois qu'une colonne à la une et qui la dirige vers une trouée d'espérance où la fiction prendra fin pour que commence la réalité humaine à moins que ne s'y oppose la légion romaine comme naguère comme guéguerre.
J'ai revu le patriarche ou le père noël ou le bon dieu ou appelez le comme vous voulez pasteur ou guide éclairé du troupeau égaré et cette nudité de bête qui nous habillait depuis la nuit des temps jusqu'à aujourd'hui où le mirage du progrès nous fait voir élégamment et décemment vêtu notre bestialité qui prendrait alors le nom d'humanité.
Mais il y a cinq colonnes à la une qui donnent des lettres et elles sont mauvaises; des chiffres et ils sont mauvais. Des nouvelles d'ici bas avec statistiques à l'appui pour si on y croirait pas et les avancées du progrès qui causent toujours plus de décès; et voilà les quatre colonnes qui manquaient à l'édifice.
Ces cinq colonnes je les condamne comme Zeus condamna Atlas, mais c'est de la sphère terrestre l'édifice que je les voudrais bien voir porter sur leurs têtes qui s'épuisent à penser au lieu de porter, au lieu de supporter, au lieu de supporter insupportent l'humanité.
Quand je ne vois qu'une colonne à la une capable de le faire et c'est celle, faut-il se répéter, qui la dirige vers une trouée d'espérance où la fiction prendra fin pour que commence la réalité humaine à moins que ne s'y oppose la légion romaine comme naguère comme guéguerre.
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