Ô toi la Parque qui m'a donné la sienne de vie et de fortune
Au lieu(commun) de prendre la mienne de vie et de fortune
Ô toi la Parque
Qui a fait fortune
Avec tes ciseaux
Gagnant des tunes
De ton vivant
J'étais bienveillance
De ta mort
Je serais reconnaissance
Moi qui de mes deux mains n'ai jamais rien su faire
Ô toi reconnue par un Président meilleure ouvrière
De France maintenant que je ne t'ai
A quoi bon tout ce que de toi j'ai
Avec une autre voudrais-tu
Que ta fortune fluctue
Dans mon lit quand tu es venue jolie
J'étais moi déjà bien trop ravi
Pour dire non que j'ai dit oui
Et ignorant ta fortune je lui ai sourie
Mais de grâce
Que l'on ne dise pas de moi que je suis un ingrat
Ou suis de ceux qui sur les autres la belle farce
Font leur gras
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